Lettres d'Or

Bonjour!

Je posterai ici tout les petits textes que j'ai écrit , cependant ne vous attendez pas à des post régulier car j'écris assez rarement , mais j'espère  tout de même que mes écrits vous plairons!

Une étoile filante laissant un éclair de lumière derrière elle, avant d’exploser en marquant le ciel d’une merveille rose.Un éclat de lumière dans la nuit, la même lueur qui me fait sourire, cet aperçu qui disparaît, effémaire.De la poussière d'étoile ou un simple rêve, une grande question à laquelle j'ai trouvé une réponse, seul son sourire illumine la nuit : comment pourrais-je le remarquer? Elle s'en ai allé avec cet éclat de lumière.

il avance, la dague entre les mains, souriant et les larmes aux yeux, déterminé à en découdre avec cette histoire pour comprendre le pourquoi du comment , dans un éclair de clarté, il laissa la dague glisser entre ses doigts, tomba à genoux, les larmes coulant à flot, toujours avec le même sourire, montrant qu'il va bien , en apparence, frappé par l'espoir.Il se lève, fixe, laisse un dernier sourire puis l'embrasse, et s'assied pour contempler les étoiles, cherche la plus brillante alors qu'elle était sous son nez, cette étoile qui lui souriait, mais il ne l'avait pas encore compris, mais quand elle partit, emportant toute cette lumière derrière elle, il se retourna et vit la réalité, son étoile était là et le cherchait au mauvais endroit.

Un autre sourire , qu'il lui fit , avant de se retourner , une larme coulant le long de sa joux gauche . Elle l'interpela pour lui demander un dernier baiser avant son départ , il se figa et se retourna d'un pas incertain , puis la serra du plus fort qu'il pu dans ses bras pendants de longues secondes , avec une autre larme coulant le long de sa joux droite. Il entrepprena donc son départ après cet adieu , un silence pesais sur lui , ainsi que de nombreux regrets , les larmes coulaient maintenant le long de son visage , l'espoir aux portes de la fin , quand il vit son visage . Elle était là , l'attendais , lui et lui sourais avec impacience , l'homme , déconcerter , trébucha et elle le rattrapa d'un baiser qui le frappa à l'aube d'un amour naissant.

Assis , la tête dans les étoiles , comme dans ses habitudes , il entendis une voix douce qui murmurai son nom , qui le replonga dans la réalité , ou cette voix ce présentais . Il leva la tête sonné , elle lui demanda de se lever , il le fit aussi tôt et sans aucune résistance . Il lui demanda pourquoi elle était venu , elle lui a simplement répondu qu'elle voulait venir , puis elle lui tandi la main , que l'homme sésissa , intriguer par ce qui se passe , quand , dans un élans d'innatention l'homme trébucha encore une fois , pour éviter de l'emmenner dans sa chute , il lacha la main de la fille de son coeur , mais elle persista et l'aretta dans sa chute.Elle lui fit un autre sourire , et , l'homme , géné lui demanda pardon , elle ne dit pas un mot et le pris dans ses bras , lachant un soupire et un dernier sourire.

Salut
Tes paragraphes sont intéressants mais

les conseils et avis, ouvre le spoiler si tu veux savoir:

"  Elle s'en ai allé avec cet éclat de lumière. " < ça, c'était beau

Merci pour tes conseils eikko j'en ferais bon usage !

Une nuit sombre , la lune terne , assis , à penser , rêver. Un autre rêve , un de trop , impossible croyait il. Puis , un beau jour il entendis son rire , ce rire qui à fais battre son coeur , et réveillé son âme. Son âme , secouée par ce son délirant , étourdit , chercha réponse à ce son. Il la vit alors , riant aux éclats , il entrepris un sourire , un sourire qui à été briser rapidement et sourdement , au moment précis ou il compris que ce rire ne lui était pas destiné mais bien à quelqu'un d'autre. Ce moment ou il compris qu'il n'était plus raison ni de ses sourires ni de son bonheur , seulement de son oublie . Quant à son espoir , avais de nouveau rejoins les portes de la fin , pendant que la Mort , elle , hésita à intervenir jusqu'au moment décisif. Ce moment ou elle se retourna et le vit , assis et figé , qu'elle s'approcha.Et que tout simplement , elle se pencha face à lui , pour échanger un baiser avec lui , qui lui renversa l'âme , qui , se trouva soudainement perdue , entre cet éclat de lumière dans la nuit et l'ombre de la réalité.

Lut !

C'est triste, profond, émouvant et fini avec une belle fin… Que dire de mieux derrière tout ces obstacles de t'es pensé ?
Ce sont des beaux textes et j'espère, pouvoir en relire d'autres a l'avenir ! :) Donc continu d'en mettre !

Ne t'inquiète pas Lysandre j'en posterai autant que je le peux , la plupart du temps ça sera le week-end.

Un autre souvenir , un dernier sourire , et un autre rire. La nuit s'achève avec le silence , le son de l'évidence assourdissante bousculant les rêves et la démence .Un élan de clarté qui fais dériver la pensée vers un lien de parenté avec la réalité , désespéré par un déclin d'intégrité.Une flamme d'espoir éteinte par un souffle de malheur , combattue par un grand coeur , qu'es le bonheur brûlé par l'inconscience de la présence.Une perle du rêve brisé par une réalité encrassé par le manque de bonté de la naïveté.Une explosion de l'ombre qui détruit la lueur d'innocence
qui achève son dernier jour.Une solution à cette nuisance , ni direction , ni destination , réponse dérisoire , rêve pour foncer dans l'abattoir.Un retard prétentieux justifier par des idées en manque d'occupation.Dictateur de bonne conscience condamnant le plus fort à travers les rivalité , pouvoir résiduel.Administration d'inaction , politique d'illogique , secte d'un mieux de précieux de jeu soit disant merveilleux.Naïveté instable des crapules assassin de la première dame , vent d'une aube de nouveauté.Représentants consommateur de malheur et de stupeur, grandeur d'une horizon de peur.

Lut !!
Ohlala belle trouvaille, que de rimes dans tout ceci !
Toujours aussi beau d'ailleurs x) J'ai hâte d'y voir les prochains !!

Des yeux de saphir, un regard de feu, un rire de fou.Une flamme qui brûle l'âme, la déchire et la torture, quant à elle, la conscience n'est que spectatrice de ces horreurs subis par l'usure du Temps et des peines du cœur.Ces yeux qui brillent de nuit comme de jour comme de grandes étoiles, se brillant si magnifique, reflet de l'âme désormais à terre.Il ne fais que pleuvoir,se dit l'espoir , sans tout à fait y croire, avant de tomber dans le noir.Une pluie de diamant tous plus étincelant les uns que les autres, tous plus tranchants les uns que les autres.Ces diamant qui ornaient le sourire d'émerveillement de l'innocence, assassiner par la vérité, guerrière impitoyable au flammes bleues et révélatrices.Beauté de la vie, chaleur du cœur,sourire d'amour.Horreurs de menteurs,brûlure glaciale de l'oubli,perles des larmes du bonheur tourné en malheur sans aucun honneur.Rire en éclat, ces éclat du sourire éparpiller par l'ardeur du faucheur , fervent prêcheur de douleur,assassin des dessins du matin, ex calin de l'ancien bien humain.Soupire dans l'espoir de mourir,étouffant son rire,laissant s'assouvir tout plaisir, tombés sous le désire, un dernier rire, avant d'en finir, un dernier sourire pour le désire qu'elle l'admire.
Rancœur de faucheur , malheur d'ange pleureur, collectionneur de douleurs, bonheur de chasseurs de rêveurs.Tels sont les chuchoteurs du faucheur.

Un pleur , un rire, un soupire, un silence.De doux son bercent la nuit, tous en murmures glaciales et pesant.Là ou la mort n'ose pas agir par peur de ravager la vie , c'est ces pleurs qui en prennent la place d'innocents, ces pleurs de l'âme qui se lamente du sors auquel elle se crois réserver.Ces rires causé par les blesser au coeur qui tentent tant bien que mal de masquer la douleur du coeur, toucher fatalement par la foudre déchirante de l'amour.ce soupire du sage qui se demande encore comme le monde tourne-t-il encore rond avec tant de fou qui se cache encore de la réalité pour s'exprimer, tant de différent effacés de l'histoire qui ont pourtant sauver l'espoir du monde à maintes reprises.Puis comment oublier ce silence , qui compte les morts , les endormis de peur de perdre leur masque de nuit , des assassin attendant leur cible, d'âme qui chantent la marche de l'ombre qui comptent les perdu des rêves.Pensées de rêveur , monde de créateurs , de profanateurs du bonheur sans aucune peur.Et la nuit , souriante de rêves , de chasseur de malheur, des dictateur de bonne paroles , la plume à la main changent le monde pour l'aube meilleur de celui-ci , l'éclaircissement des mystères qui hantent les plus curieux ,qui forgent les sourires des âmes débutantes et expertes.

Lut lut ~~

Tous ces textes sont t'il issus de t'es rêves ou par l'ennui ? Même peut-être autre ?
Tu dis beaucoup "Rêve", "bonheur" "âme" x) Donc je voulais savoir, libre a toi de me répondre ou non ~~ Continu comme ça ! Les textes sont magnifiques.

Chacun de ces textes ont leur sens précis et propre à eux même, même si ils peuvent être classés dans plusieurs catégories.

Grande dame aux yeux de saphir à en faire tressaillir le plaisir dans un délire de sourire fou à en mourir.Dame chasseresse de coeur et de bonheur, prêtresse des grand rêveur devenant fervent prieurs de chaleur de coeur.Dos au mur, du moins assez haut pour être tenter au saut, idée qu'il se fait de bien beau et malheureusement faux.Idées déplacer à en vouloir le pousser, le chasser de la sérénité autrefois habité par l'humilité et la bonté d'une grande beauté à en déconcerté les plus avisés à ne pas en chuter mais par finir d'en tomber sans tolérer le sourire glacer de cette beauté. Attiré et non sans résister est bien tenter d'essayer de la croiser et de gagner un de ces baisers à en faire tomber les anges déconcertés de cette légèreté.Guerrier sans peur et déterminer à s'en engager pour délivrer ce qui est tant désiré et sans éviter de chuter mais en rêver sans arrêter et atteindre le moment qui en attiré des milliers.

Bonjour, bonsoir !
Des coup de cœurs, l'amour qui vole hmmm Un moment impossible, un désir.
Tu veux lui voler son cœur a cette fameuse dame ? *Tousse*
Continu poète ! Ou "Grand fou" de t'es nouvelles.

Je ne suis en aucun un voleur , je gagne ce que j'ai et je le mérite.

Assis durant cette courte nuit, tout ce qu'il fuit ne le suit plus pour cette nuit sans répit pour sa vie.Perdu dans les étoiles, il entend un doux son , dont il se rappelle, ce même son qui lui faisait perdre la raison à chaque occasions, c'était la voix de se passion.Redescendu sur terre il baissa la tête pour contempler ce qui se tenait devant son fin visage,il cru à un rêve.Cette lame scintillante au clair de lune, ce rire qui hantait tout désir et ôtait tout plaisir, ce pouvoir qui le faisait tant languir; cette sombre robe bleutée et tacheté de doré à en faire pleurer les anges tout droit tomber du ciel.C'était lui, ce sourire si singulier, cette confiance en soit imprenable et ses choix indissociable du réalisable, il était là,et cette fois c'était pour lui qu'il était là. Une dernière fois qu'il le voit, quant vin son tour ou sa vie décroit dans le déclin de ce qu'il croit bien être la fin.Le Faucheur avait entendu cette heure qui faisais taire le bonheur et mourir les rêveur d'un grand coup au coeur.

Lut,
Tu gagne ce que tu as … Bien sur que tu le … Mérite ?
Encore un beau texte que tu nous présente ! :) Que sera la prochaine ? Serait-elle plus joyeuse avec une fin aussi mélancolique ? Bonne continuation !

Tout le monde vit au moins une fois ce moment, tout le monde s'attend à ce qu'il arrive, mais c'est au moment où il ne faut pas qu'il arrive, quand tout part en vrille, que ton coeur vacille, que ce moment arrive, achève l'âme à terre, sans aucune pitié. Quand tout espoir est mort, ce moment viens finir le travail inachevé, détruire toute lueur d'espoir, de persévérance, de détermination, en laissant derrière lui de sombres souvenir formant une ombre pesante, et parfois quelques larmes. Tout s'efface tellement vite, tellement de temps à s'écrire, si peut pour se détruire. Le pire, c'est qu'on peut rien y faire, on voir cette scène horrible devant nos yeux, impuissant, face au destin. On voudrai tellement que ça continue, que ça reste encore un instant, le temps de faire les adieux, adieux aux sentiments, au sourire de l'autre, à son amour, adieux à tout ce dont on vivait de cette personne, disparue devant nos yeux, se battant dans notre coeur, toujours là, douleur après douleur, dans la lueur infatigable de l'espoir, toujours plus douloureuse. On pourrai croire que cette personne à tout pour nous, et quand elle part, on se sent vide, une partie de soi-même qui manque à l'appel, elle était devenue partie intégrante de notre personnalité, elle était partout. Mais plus tard on se rend compte de l'inhumanité dont fait preuve l'être humain lui-même, en réaction à cette souffrance, il oublie, il archive, mais l'âme se souvient toujours, blesser à vie, tendis que la conscience veut nous faire croire que c'est oublier, semant le brouillard dans notre coeur.Mais ce n'est plus notre, ce n'est plus que le mien, de nouveau seul, blessé, qui se relèvera encore, et encore, essuiera les défaites, années après années, sans jamais oublier, accumulé les douleur, les peines, les souvenirs de peurs. Le plus dur ce n'est pas de la perdre, c'est de se convaincre de le l'oublier, mais je ne veux pas oublier, je ne veux pas abandonner, perdre, encore une fois, cette fois ci, je me battrai jusqu'au bout, tant que cette petit lueur, cette petit lumière brillera, scintillera dans mes yeux, tant que mon âme y croit encore. C'est que je l'ai toujours su, que je n'était que de passage, que ça ne durerait pas, que c'était juste un instant de bonheur, mais j'y ai cru, j'ai voulu y croire de tout mon coeur, j'ai tout fait, tout voulu pour elle, j'ai simplement tout perdu, en voulant tout donner, j'ai eu beau semer mon amour je ne récolterai décidément rien, jamais, ma vie n'est pas une terre fertile, c'est un lieu aride, vide de sens, vide de lumière, ce n'est qu'une poussière, un petit rien, que j'ai voulu faire briller, que j'ai juste brûlé, elle m'a oublié, elle est partie, je ne suis plus rien, j'ai disparue pour elle, je n'existe plus, elle en aime un autre, qu'elle aimera plus, qu'elle aimait déjà quand j'étais là, qu'elle aimera quand je ne serait plus là. Son nom est grave sur mon âme, mes lèvres porte la marque de son dernier baiser, mes yeux ont son dernier sourire m'étant destiner. Tout est finit, ça n'avait pas commencer, dès le moment où elle sourit pour un autre, qu'elle s'amuse plus avec lui, qu'elle éprouve autant voire plus d'affection pour lui ouvertement, me déchirant le coeur, je le savait, mais je l'ai laissé détruire mon coeur, briser mon âme, à nouveau, mais je l'aime encore, encore et toujours cette lueur immortelle, maintenant la souffrance et ses souvenirs, que je ne veux oublier, au prix de mon dernier sourire, qui lui sera indéfiniment dédié. Je continue à observer son doux sourire, écouter son rire parfait, sa beauté envoutante, ses merveilleuse paroles, qui mon brisé. Je continue de rêver, de la voir, d'y rêver toute une vie, tout un monde utopique dont je ne vivrai plus jamais la moindre parcelle, que je n'en verrai plus jamais la moindre étincelle, qui restera dans un coin de ma pensée, quand je me sentirai seul, j'y ferai un tour, la serrer dans mes bras encore une fois, perdre une larme, des pleurs, un dernier baiser, un dernier rêve, un rêver éternel dans une vie éphémère. J'entendrai toujours l'écho de sa voix qui berce mon sourire, qui nourrit mes paroles, le secret de mon inspiration, c'est elle, mon amour pour elle, une source sans limite, merveilleuse, sans frontières, maillant le réel et l'irréel, rendant l'imagination éternelle. C'est possible voire sur que je l'aimais depuis longtemps, que je m'était attacher à ses habitudes qui ont charmer mon coeur que je croyais jusque là insensible, jusqu'au moment où elle entra dans ma vie, la dame faisant chavirer mon âme, délirer mon coeur, faisant perdre toute raison à ma conscience, me rendant encore plus inconscient, fou amoureux. Cette femme était la partie la plus douce de moi-même, le reste même de pureté qu'il me restait de mon existence, l'incarnation de mon âme d'enfant, devenue une ombre brisée de la réalité, devenue la petite fille perdue de la forêt, terrorisée, s'enfonçant dans l'obscurité, destinée à une mort certaine, mon âme d'enfant était semblable à tout ça, quant vint l'éclaircie d'une vie douce et pure, guidant cette petite innocente à travers les ombres, affrontant toutes ses terreurs et ses peurs, la faisant avancer de pas hâtif, surmontant l'impossible, simplement à la vue de cette étincelle d'humanité, faisant vriller les étoiles, faisant scintiller mes yeux, faisant brûler mon coeur. Elle est partie soudainement, elle disparaissait étrangement avant d'y mettre un terme, brutalement, douloureusement. Tout un monde c'est brisé en un choc, une courte succession d'évènements, suffisants à détruire un monde entier, l'impossible cette fois rendu possible du mauvais côté, transformant ce monde de rêve en un cauchemars tourmentant mes nuits, troublant mon sommeil, c'était elle. D'un coup, elle ne riait plus pour moi, comme si ça venait de commencer, comme si je venait de m'en rendre compte, surpris de mes prédictions désastreuses, l'espoir était surprit, le coeur aussi, c'était finit. Que dire de plus, je ne suis qu'un parmi tant d'autres qui sont passé par là, je suis dans la simple norme, les âmes brisées sont courant en se monde impitoyable, il faut croire que les grands enfants ne vivent pas longtemps, la réalité toujours là pour les ramener à terre, les sortir des nuages, les brisés encore une fois, jusqu'au jour où il ne se relève plus, où il perde l'espoir, où il deviennent ce qui est appelé mature, mature, une âme brisée cachant le peu de sentiments qui lui reste, prêt à tout pour préserver le peu d'humanité qu'il me reste, encore une fois perdu, comme toujours, je me plaisais au brouillard de solitude, connaissant tout les recoins doux et apaisant, j'avais mes habitudes, puis je l'ai rencontré, j'ai abandonner cette solitude pour faire tomber mes larmes, délaisser mes peurs, oublier les cauchemars, pour destiner mon coeur à cette fabuleuse personne. Maitenant je suis de retour dans cette brume épaisse de solitude, j'y ai perdu mes repères, mes habitudes, je regrette ses chaleureuses paroles, me réchauffant le coeur, maintenant dans un vide glacé, un soupçon de réel dans un tas de souvenirs. Une ombre me traverse, elle me transperce et me parcourt d'un froid glacial et strident, mes yeux se ternisses, autrefois brillant et clair, il on perdu en clarté et en éclat, ils sont assombris. Mon sourire qui se dessinait de temps à autre en discutant avec elle a disparue, laissant un gout amer à mon visage tout entier. J'ai oublier comment rire, comment sourire, comment pleurer, j'ai perdue mon humanité en la perdant, j'ai voulu tout lui donner, elle n'a rien pris mais elle est partie avec tout. J'ai voulu percer le ciel pour lui offrir tout les astre de l'Univers, mais je me suis perdu dans les étoiles, observant ce monde, s'éloignant peu à peu de la réalité, ma réalité s'effaçait, peut être que je vais changer, peut être que rien ne va se passer, mais je n'ai rien oublié, sans exception, rien ne s'effacera de mon âme, ni son sourire, ni ses douces paroles, ni son rire, ni son existence, ni son amour, ni le mien, tout restera, avec l'espoir, à bout de souffle, cette étincelle vacille mais je sais qu'elle restera, cette étincelle de tout, tout ce qui me reste d'elle, je la protègerai, au péril de mon âme, à en perdre la raison, à en inviter ma folie. Je l'ai aimé, elle m'a aimé, sans doute, du moins j'y crois, je l'aime, elle ne m'aime probablement plus, du moins je n'espère pas, je l'aimerai encore et toujours, elle m'oubliera, j'en suis presque sûr, mais jamais je ne la laisserai partir aussi facilement, peut être que c'est égoïste, mais l'amour rend fou, je veux encore la voir, lui sourire, rire avec elle, la soutenir, languir ses pensées, et essayer de comprendre pourquoi. Certain diront que je suis un mec dangereux, certain diront que je suis totalement conscient de tout ce que j'ai pu faire pour qu'elle parte, mais aucun de ces personnes ont raison. Je ne suis qu'une âme perdue dans la réalité, peinant à comprendre ce monde illogique, impitoyable, sans visage, me guidant à travers ceux en qui j'ai confiance, mais plus le temps passe, plus j'ai mes repères, moins j'ai envie d'explorer, moins j'ai envie de faire confiance, mais je continu, je sais qu'il y a quelque chose derrière ça, peut être que je me trompe, mais je passerai ma vie à découvrir le monde, ma vie à vivre pleinement ce que la plupart n'ont jamais vécu. Un dernier souffle, un dernier murmure, un dernier plaisir, un dernier effort, une dernière peine. Non. Ca ne fait que commencer, et rien n'est finit tant qu'elle est encore là, tant que je la voit encore sourire, rire, tant qu'elle vit, je vis, je peux sourire, l'aimer de loin, en silence, profiter de ce qu'il me reste d'elle, une simple silhouette, que jamais je ne laisserai disparaitre ni pâlir, tant que je serai là, cette perle brillera, elle brillera entre les mains d'autres, mais elle brillera de milles feux, et ce scintillement fera brûler mon âme, ravivant un peu cette lueur d'espoir.Je n'aurai jamais cru en arriver là, aussi loin, et me surpasser autant, grâce à toi. En bref, tu me manque.

Lut !
C'est une fin bien tragique ~~
Ne jamais retrouver ce que tu avais de plus précieux en voilà une histoire que ton cœur ne peut oublier.
Bonne continuation ! La prochaine sera t'elle nommé "Pavé" aussi ? o:)

Non pas de pavé cette fois Lysandre !

Je rêvais que tu étais là
Toujours près de moi
Avec ce beau sourire
M'appelant à te languir

Je rêvais de ses nuit
Là où tu m'embrasserais
Pour enfin quitter l'oublie
Pourquoi j'y resterai?

Je rêvais d'un début
Un rêve sans aucune fin
Je crois être dans l'abus
Mais je me libère enfin

Je rêvais d'être avec toi
De te serrer dans mes bras
De quoi oublier les tracas
Toujours à parler de mon cas

Je rêvais d'une reine
Mais la réalité me fais bien des peines
C'est bel et bien un rêve
Une calme et simple trêve

Je rêvais de ces jours
Quand je pourrai te voir
Pouvoir t'offrir mon amour
Tu aurai pus l'avoir

Je rêvais de ne jamais te voir partir
Mais j'ai été aveugle
J'ai simplement camouflé le pire
J'ai rêvé sous le mauvais angle

Je rêvais que tu m'appartenais
Je pensais que je c'était possible
Que je te tenais
Mais c'est impossible

Je rêvais que tu m'aimais.

Bonjour, bonsoir

T'as un don pour les poèmes :) En tout cas tu as bien cherché t'es rimes, c'est toujours aussi accrocheur !
Tu aime le thème de l'amour non ? On dis que celui qui couche sur papier ses pensés c'est ce qu'il ressent ~~ C'est le cas pour toi ? Continu sur cette lancé !

Ouiz, les poèmes c'est court, simple, et efficace.
Le thème de l'amour c'est un thème que je trouve assez simple donc oui j'aime bien, et Lysandre, les meilleurs récits sont écrits avec une encre de sang et de larme à la plume de l'auteur.

Une grande soirée à en faire rêver
Tous ça pour célébrer cette grande passion
Me donnant des frissons et me faisant délirer
Avec une magnifique fille à un beau surnom.

Qui est donc cette fille aux doux mots de plaisir
Un don de déesse qui me fais tant languir
Cette fille de bonheur me rend grand rêveur
Qui fais de moi le roi plus qu'un dompteur de cœur.

Un secret de cette reine qui me rend fou d'un coup
Que d'être cette proie hantant le désarroi
D'un grand roi sans trépas au chagrin d'un grand fou.

Si peu pour un grand roi bien trop pour Rithisha
Déesse aux mille voix chasseuse de mauvais pas
Voila qui et comment mon doux cœur flancha.

Faites pas gaffe au prénom :v
Et oui c'est un sonnet avec 100% des règles respectées.

Lut lut ~~
Mdr j'étais justement en train de me poser la question sur ce fameux nom ~~
A l'encre de sang … C'est une expression ?
Et non je trouve que les poèmes sont compliqué et l'amour un accès tellement de confusion. Mais si tu trouve que c'est facile je te souhaite de ne jamais arrêter x)
Aimer purement et simplement ~~ Dans la disgrâce ou dans une beauté je me demande lequel est le mieux ahah ! Bon courage pour trouver une suite

Oui le "L'encre de sang et de larme" c'est une expression de moi-même. Et tu sais Lysandre, pour moi des choses pourtant simples peuvent m'être difficile alors que des choses complexes me semble simple, oui je sais c'est pas logique mais c'est le court de ma vie.

Je lisais la prunelle de tes yeux
Tel un dompteur de dieux
Mais j'ai été aveugle
Je t'ai regardé sous le mauvais angle

C'était pourtant évident
Comme ta douce beauté
Mais j'ai encore oublié
Ce détail si flagrant

Le passé que j'ai voulu rayé
M'as empêcher de le réaliser
Mais maintenant je le sais

Ce sourire qui t'anime
Celui qui me dis que c'est vrai
C'est avec cette passion que je t'aime

Hello ~~
Tu as une vie plus complexe que tu parais montrer mdr mais pourquoi pas il en faut !
J'aime la "passion" que tu portes a l'autre tu as une façon de dire qui est attachant. Qui semble dire "je t'aime peu importe t'es défauts, c'est toi que je choisi"
Mais peut-être que je me trompe x) Tu as de quoi, t'exprimer ouvertement das t'es textes c'est bien ~~ !

C'est dans la nuit que les âmes perdues sont révélées, dans le crépuscule de l'espoir, dans la prunelle des yeux d'une personne dont on n'en soupçonnerait pas la moindre larme, que l'on peut voir sont âme airer dans l'obscurité d'une vie refoulée. L'heure à laquelle on pourrait croire qu'une de ces innombrables âmes pourraient paraitre avec une lueur de clarté est le même instant où le dernier soupir éveillé d'un enfant à l'âme brisée est poussé. De la flamme noire du coeur qui se bat contre un ennemie qui n'est que lui-même au scintillement des étoiles dans une voûte céleste dépourvue de nuage; tout est toujours plus assombris par la réalité qui a été elle-même pourrit par les mensonges produits à foison par des inconscients. Le son d'un autre de ces cris, annonçant que le temps s'écoule assez vite pour rattraper la réalité, tous ces pleurs qui s'étouffent dans la brume des faux visages qui guettent l'instant parfait pour détruire encore une âme innocente parmi les dernières. Mourir dans l'extinction du seul sentiment qui en vaut la peine d'être épuisé jusqu'à sa disparition complète, dans le seul soupçon d'espoir qui peut rester durant les moments où tout parait s'éteindre, ce sentiment est celui d'être plus attaché à quelqu'un qu'à sa propre vie.

Lut,
C'est profond, beau et a la fois si triste ...
Ton univers se transforme en une voie l'actée !! *^* Si loin, inatteignable, tu auras beau tendre le bras tu ne le touche pas. Ne perds pas espoir, une lumière te guidera toujours et tu l'as trouvé.
Dans tes textes ça parle toujours d'une personne qui t'es attachés est ce la même à chaque ? En tout cas continu sur cette lancée !

Oui Lysandre, c'est la même depuis le début.

Dans le dernier soupir
D'un espoir sans avenir
Est révélé une dure vérité
Laissant aux assassins ce qu'ils ont mérités

Les étoiles disparaissent
Dans les mots de la nuit
Un à un ils me blessent
M'endormant à minuit

Dans ce genre d'instants
Les craintes s'épanouissent
Tel des fleurs de printemps
Dans des larmes qui périssent

Le monde s'éteint derrière son ombre
Là où personne ne me retrouvera
Je me perdrai dans les illusion en grand nombre
Et c'est un ainsi qu'elle m'achèvera.

Lut,
Les crimes de minuit exe Assez fréquent *Tousse* C'est aussi le meilleur moment pour rêver ~~
Je n'espère pas qu'elle va t'achever, je veux une suite !

Entre le temps et l'espace, une voix brisée qui raisonne les pensée d'un seul homme. Dans cette ombre faussée par des promesses mensongères, frappée par la vérité. La réalité qui s'effondre, les murs qui tombent un à un, l'espoir qui brûle au plus profond de toute espérance. Nuit et jour, les rêves qui s'effacent dans l'ombre, perdus dans la brume d'une fausse vérité, d'une lueur pâle de la réalité. Et puis c'est là que le masque tombe, que les vrais guerriers meurent, que les lâchent poignardent les braves, que les rumeurs deviennent réalité, toujours aussi pâle. Embrasse le ciel qui s'efface, abandonnant les étoiles à s'éteindre une à une, laissant pour seul lumière l'espoir qui s'estompe. Moi dans tout ça, je vois tout ce que j'ai toujours cru voir, des morts, des rêves d'enfants de tous les recoins de l'humanité, tous tués, massacrés par ce masque qu'es la réalité. Mon temps est compté parmi les derniers, observant les fous s'entretuer, l'hypocrisie se déchirer, laissant l'avenir du monde dans les mains d'un enfant sans âme, frère même de la mort. Amour perdu, ange déchu, la fin les a tous tués, sauf moi, dernière âme de l'hécatombe d'une vie qui n'est que le masque d'une autre guerre.