- Faucheur~
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Déviance
Sam 6 Avr - 20:36
Bienvenue dans le royaume lubrique de mes songes,
Abreuvé du chaos et des psychoses de mon corps.
Je garde au chaud ces caresses qui vibrent encore
Dans la brume de tous les sentiments que j'éponge.
Des fleuves de mon sang à mon cerveau névrosé,
Se promènent les particules de cette plante irisée.
Alors je plane au-dessus des crevasses de mon esprit,
Me délectant de ces souffrances qui m'ont tout pris.
Alors les tambours frappent dans l'obscurité,
Avec sur mon lit, moi et ma grande curiosité.
Entends-tu l'appel pourpre de la douce hégémonie
De mon âme sur la science de tous les esprits ?
Entends-tu l'appel criant de ma lente agonie ?
Moi, ce que je vois, c'est Lily qui me sourit.
Abreuvé du chaos et des psychoses de mon corps.
Je garde au chaud ces caresses qui vibrent encore
Dans la brume de tous les sentiments que j'éponge.
Des fleuves de mon sang à mon cerveau névrosé,
Se promènent les particules de cette plante irisée.
Alors je plane au-dessus des crevasses de mon esprit,
Me délectant de ces souffrances qui m'ont tout pris.
Alors les tambours frappent dans l'obscurité,
Avec sur mon lit, moi et ma grande curiosité.
Entends-tu l'appel pourpre de la douce hégémonie
De mon âme sur la science de tous les esprits ?
Entends-tu l'appel criant de ma lente agonie ?
Moi, ce que je vois, c'est Lily qui me sourit.
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La Belle Rousse II
Dim 7 Avr - 16:21
Que tes cheveux m'hypnotisent,
Quand je sens l'odeur de ta peau
Passer près de moi comme l'eau
Du divin élixir de vie que j'érotise.
Et tes tâches de rousseurs les étoiles,
Rayonnantes et peuplant mes rêves.
Quand la nuit tombe le voile,
Ce sont tes cheveux roux qui m'élèvent.
Alors emporte moi dans l'innocence
D'un sourire, d'un espoir, d'un fantasme,
Que je puisse encore croire mon enfance
Quand elle me pousse au pléonasme :
Tes mèches rousses bercent mes nuits,
De leurs boucles pures et cristallines.
Tes mèches rousses sonnant minuit,
Deviennent les muses qui m'illuminent.
Alors berce moi, fais moi voir la lumière
De tes yeux mélangés à mes iris affamés.
Par pitié, abreuve mes songes enflammés
Et entends de mon enfance les prières.
Quand je sens l'odeur de ta peau
Passer près de moi comme l'eau
Du divin élixir de vie que j'érotise.
Et tes tâches de rousseurs les étoiles,
Rayonnantes et peuplant mes rêves.
Quand la nuit tombe le voile,
Ce sont tes cheveux roux qui m'élèvent.
Alors emporte moi dans l'innocence
D'un sourire, d'un espoir, d'un fantasme,
Que je puisse encore croire mon enfance
Quand elle me pousse au pléonasme :
Tes mèches rousses bercent mes nuits,
De leurs boucles pures et cristallines.
Tes mèches rousses sonnant minuit,
Deviennent les muses qui m'illuminent.
Alors berce moi, fais moi voir la lumière
De tes yeux mélangés à mes iris affamés.
Par pitié, abreuve mes songes enflammés
Et entends de mon enfance les prières.
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Re: Lettres d'Or
Mer 10 Avr - 20:12
Si j'avais su qu'en plantant une rose
Dans mon petit jardin secret,
J'aurais écoulé autant de prose
Et dû mettre le feu à la forêt.
Dans mon petit jardin secret,
J'aurais écoulé autant de prose
Et dû mettre le feu à la forêt.
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Lettre à une belle âme
Mar 7 Mai - 17:51
Dans mon monde, le bonheur en berne,
S'illumine la lueur de ton aura.
Et, comme des millions de lanternes,
Tu rayonnes dans cet étrange opéra.
Alors, dans cette brève danse des regards,
Parfois, dans un instant de paix, je m'égare.
Mais que dire à l'inconnue de mes songes
Quand le temps restant peu à peu me ronge ?
Alors je savoure nos sourires éphémères
Tant qu'ils peuplent encore mes nycthémères.
Que ce poème soit un au revoir ou une bienvenue,
J'aurais eu le courage de t'avoir prévenu,
Mais aussi le bonheur de t'avoir connu
Dans l'un des courants de ma vie discontinue.
S'illumine la lueur de ton aura.
Et, comme des millions de lanternes,
Tu rayonnes dans cet étrange opéra.
Alors, dans cette brève danse des regards,
Parfois, dans un instant de paix, je m'égare.
Mais que dire à l'inconnue de mes songes
Quand le temps restant peu à peu me ronge ?
Alors je savoure nos sourires éphémères
Tant qu'ils peuplent encore mes nycthémères.
Que ce poème soit un au revoir ou une bienvenue,
J'aurais eu le courage de t'avoir prévenu,
Mais aussi le bonheur de t'avoir connu
Dans l'un des courants de ma vie discontinue.
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